Les Ames Vagabondes
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Les Ames Vagabondes

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 Incognitos Cities ----> Layla

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3 participants
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Layla
Fan de Stephenie Meyer
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Layla


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MessageSujet: Incognitos Cities ----> Layla   Incognitos Cities ----> Layla Icon_minitimeSam 7 Mar - 0:27

Alors voilà, je participe à un concours de jeunes écrivains de ma région ! J'ai été prévenue qu'hier et je dois rendre mon texte avant le 9 mars. Comme vous le constatez cela fait extrêmement cours ! Mais j'y suis quand même arrivée, je viens de finir mon texte et j'aimerais bien avoir vos avis avant que je l'envoie !
Alors voilà, la consigne c'est de faire une nouvelle au choix. Mais on doit rajouter obligatoirement une phrase déjà faite. Je ne vous dit pas laquelle Wink !
Voilà, merci à ceux qui la liront !

Incognitos-Cities.


La nuit était en train de tomber sur la ville où j’habitais. Je ressentais immédiatement un soulagement qui enlevait cette impression qui plombait continuellement mes entrailles. La nuit allait être noire et il faisait plutôt chaud pour cette fin de soirée. J’avais de la chance, c’était le soir idéal, le soir que j’attendais depuis tant de temps. Je repérais une dernière fois la forêt nord ouest avant qu’elle ne disparaisse complètement. C’était la plus sauvage des quatre forêts qui entouraient mon village. Sa forêt si dense, dont les arbres étaient si anciens, et si majestueux que si on s’en approchait trop, nos intestins se mettaient à hurler qu’on était obligé de faire demi tour. Au sol, on ne pouvait apercevoir que des ronces et des mauvaises herbes. Cela ne nous donnait pas du tout envi d’y pénétrer. Certes, quelques uns avaient essayé mais soit on ne les avait jamais revus, soit ils ne revenaient que quelques heures après leur départ, tout tremblant et comme hypnotisés. Malheureusement, ils n’avaient généralement pas le temps de nous conter leurs aventures car ils mourraient tous quelques jours après. De peur ou d’insomnie. Personne ne le savait. Le ministère étouffait rapidement ses histoires. Un ministère efficace mais qui était très secret. En effet, on n’apercevait jamais personne y entrer n’y sortir. Les seuls habitants autorisés à y pénétrer, n’en ressortaient généralement jamais. Tout le monde ce posait bien entendu des questions, se demandant ce qu’ils faisaient à l’intérieur mais on avait appris à nos dépends qu’il fallait mieux se taire et oublier les choses étranges qui parvenaient. Au début les changements étaient sans conséquence, presque invisible. Cependant, depuis les trois derniers mois cela devenait incontrôlable. Il eut d’abord la loi sur les loisirs. Plus de la moitié des livres de la bibliothèque avaient été brûlés, ne gardant que les livres sérieux. Finit les livres à l’eau de rose ou de science fiction. Il eut ensuite une loi sur les habits. La seule couturière du village, qui essayait au mieux de diversifier les vêtements, dut confectionner une seule et même salopette grise pour tout le monde, femme comme homme. Enfant comme adulte. Puis, il eut cette loi contre les autres choses qui diversifiaient notre vie déjà bien minable, pic niques, baignades dans le lac, promenades à cheval etc. Toutes ces choses qu’on appréciait nous furent interdites. Egalement, le rassemblement de plus de deux adolescents étaient interdits et encore moins le rassemblement Fille – garçon. Les écoles devinrent non mixtes, la ville elle-même se divisa en deux parties distinctes. Femelles et Mâles séparés par une barrière de barbelée qui était apparut de nulle part. Un matin, elle avait été là et les autorités de la ville avait dut séparer les deux sexes.
Pour l’instant, la ville n’avait pas besoin d’être repeuplé… je ne savais pas du tout comment cela allait se passer quand le besoin se ferait ressentir ! C’est une des raisons principales qui me poussait à m’en aller. Je savais parfaitement ce qui était arrivé aux autres qui avaient essayé Cependant, j’étais la seule à ma connaissance à avoir visité autant de forêts, je me sentais capable d’affronter celle-ci. Je n’avais pas envi de rester ici pour voir ce qu’on allait devenir.
Mon évasion était, malheureusement, rendue plus difficile avec l’apparition des « cams » des sortes de boules grisâtres qui, en passant, s’accordaient parfaitement avec nos salopettes. Un jour, on avait vu d’énormes caissons sortirent du ministère, renfermant chacune des dizaines de cams. Les habitants s’étaient approchés lentement et avaient reculé en poussant de longs cris, quand ils virent ces boules s’élever toutes ensembles et s’aligner les unes à cotés des autres. Un son déchirant avait résonné d’elles.
« Habitants de Incognitos-Cities, N’ayez pas peur de nous. Nous nous appelons Cams. Je sais que cela vous semble étrange mais vous allez devoir vous habituer de nous. Le monde change, vous l’avez aperçu, mais ce n’est que pour votre bien. Nous sommes la toute dernière technologie crée, nous sommes là pour vous protéger. Comme vous l’avez surement remarqué, nombre de personnes traversant les forêts en quête de nouveauté ont augmenté. Si encore cela servait à quelque chose mais il n’existe rien après ces forêts à part la mort. Faites nous confiance. Nous sommes ici, pour vous empêchez de mourir si jeune, alors que une vie bien rempli vous attend. Chaque habitant de Incognitos-Cities, recevra sa Cams et cela jusqu’à sa mort. Le ministère qui ne vous veut que du bien.»
La vie avait pourtant continué, on s’était à force habitués à ces « cams » qui nous suivaient partout. Malheureusement, on ne pouvait plus rien faire. Avant, on arrivait à se rejoindre en secret avec nos anciens amis, on déterrait nos livres préférés dont on lisait quelques pages avant de le ré-enterrer. Mais, maintenant, on nous surveillait vingt-quatre heures sur vingt-quatre, enfin presque…
J’avais trouvé récemment, un moyen de m’échapper. En effet, les cams avaient besoin de se recharger pendant deux heures. Cela ce passait généralement aux alentours de trois heures du matin. J’aurais donc deux petites heures sans surveillance pour m’évader.
Le soir parfait était donc arrivé. Je devais m’échapper ce soir et pas un autre soir. Je devais partir avant qu’il ne soit trop tard. Mes yeux grands ouverts attendaient l’heure fatidique. Trois heures sonna enfin sur le beffroi de la ville. La lumière sur la cams s’alluma. C’était bon. Elle rechargeait enfin. Je me relevais d’un seul coup. Je n’avais que deux heures passés ce moment ci. Deux petites heures pour atteindre la forêt nord ouest. Ma vie en dépendait. J’enfilais une salopette grise et prit un sac que je remplis de diverses vivres. Mon cœur battait tellement fort que je crus qu’il allait transpercer ma poitrine. Mes gestes étaient nerveux et maladroits tellement que je stressais. Je m’étais peut être trompé, peut être qu’ils ne se rechargeaient pas dut tout, peut être que le ministère en ce moment m’observait et qu’il prévoyait un moyen de me capturer. Je ne respectais pas leurs lois. Je devais donc mourir. Je soufflais un bon coup et m’armant de courage, j’ouvris la fenêtre de ma chambre et me glissais à l’extérieur. Un froid vivifiant me prit à court. Je commençais à courir le plus rapidement possible que mes jambes pouvaient supporter. Je connaissais le chemin par cœur. Je l’avais empruntée tant de fois il y a maintenant si longtemps. Avant que les cams apparaissent, je sortais presque toutes les nuits pour aller me balader seule dans les forêts sauf celle du nord ouest. Je n’y étais jamais pénétrée mais j’y allais souvent, m’asseyant face à elle et observant la végétation intérieur. Cette fois, j’y allais pour de bon, j’y rentrerais et je m’évaderais. Je préférais voir par moi-même, ce qu’il y avait de l’autre côté même si c’était –comme les cams avaient dit- la mort. Ici, la mort valait mieux que la vie elle-même. Un rire nerveux sortit de ma bouche. Le seul fait d’être dehors, comme avant me donnait du courage. Les hauts arbres de la forêt se dessinèrent non loin de moi. Mes jambes furent apparemment soulagées car elles m’y emmenèrent en quelques minutes. Je m’arrêtais au moment où mes entrailles commencèrent à faire des siennes. Elle m’impressionnerait toujours, même là alors que j’étais à deux doigts d’y pénétrer. J’essayais de reprendre mon souffle, en vain. Mon cœur battait plus rapidement qu’il ne le faudrait. Mon souffle était heurté, par l’effort que je lui avais demandé. Mes yeux se fermèrent pendant quelques secondes, je savais pourtant que plus j’attendrais moins j’avais de chance de m’échapper mais j’avais besoin de ce moment pour me remettre les idées en place. Je soufflais une bonne fois pour toute, et sur un coup de tête, sans réfléchir, je pénétrais parmi la végétation dense et étrange. Mon estomac et mes intestins protestèrent forcement. J’avais l’impression que mon corps avait besoin ou envi de rejeter l’intégralité des organes qui se trouvaient à l’intérieur de moi. Je ne fis pas trop attention à cette douleur. Je devais me concentrer sur mon objectif : Fuir.
Je courais et rampais à moitié. Les ronces me faisaient trébucher à de nombreuses reprises, mais je gardais en tête ce mot, ce seul mot qui me faisait avancer. Ma salopette n’était plus grisâtre, elle était à présent d’une couleur qui tournait autour des marrons boueux. Malgré l’odeur de terre qui en dégageait, le faite que je sois en « marron » et non en « gris » me donnait du courage. En effet, moins je serais relier à cette ville, plus je me sentirais mieux. Plus je m’enfonçais dans la forêt, plus les arbres se rapprochaient les uns des autres et plus il faisait sombre. Encore quelques mètres et je n’y verrais plus rien.
Je me demandais, ce que j’allais trouver de l’autre coté… y avait-il une ville ? Une ville différente de la mienne ? Ou bien la mort, comme on nous le répétait si souvent ? Si cela se trouve, il n’y aurait rien du tout… je continuerais à divaguer dans la forêt sans jamais trouver une sortie. Mon corps se mit à frissonner. Je ne pouvais plus reculer de toute manière. Je repensais à mes parents, à mes amis, que j’avais abandonnés. Ils allaient surement m’en vouloir à mort. Je n’avais même pas eut le temps de leur dire au revoir. J’aurais put partir avec eux mais cela nous auraient ralentis et puis, je ne voulais pas leur infligé cela…
Un hurlement déchira la nuit. Mes yeux s’ouvrirent d’un seul coup, complètement horrifiée. Mon cœur se remit à battre la chamade alors qu’il venait à l’instant de se calmer. Je me jetais derrière un arbre, attendant que la ou les bêtes partent. Je n’avais jamais entendu un pareil cri. Un tremblement général traversa tout mon corps. Ma respiration était bruyante, beaucoup trop. J’entendais des bruits de pas, j’entendais les branches craquées. L’animal se rapprochait de là où je me trouvais. C’était donc cela qui m’attendait ? Je ne saurais donc jamais ce qui ce trouve de l’autre côté de la forêt ? J’allais donc mourir, dévorer par une bête étrangère ?
Je fermais les yeux, attendant… attendant que cet animal daigne à achever ma souffrance. Aux moins je ne mettrais plus jamais un pied dans cette ville.
- Fillette, n’ait pas peur… je ne te ferais pas de mal mais dit moi que fais-tu par ici ? Si loin de la ville ?
Mon cœur se serra. Qui venait de parler ? Ce n’était tout de même pas la bête ? Je n’osais pas rouvrir mes yeux, de peur d’apercevoir qui ce trouvait devant moi. Une main se posa sur mon épaule. Mon corps se figea automatiquement pendant que mes yeux s’ouvrirent sous l’effet de la surprise. C’était une main humaine, et non une patte d’un animal. C’était donc le ministère qui était venue me rechercher ? L’homme qui se tenait devant moi, me regardait l’air soucieux. Il tenait une sorte de long objet en fer dans sa main droite. Il devait avoir dans les cinquantaines pas plus. Il était brun aux yeux bleus. C’était un humain, comme nous autres. Il n’avait pas l’air différent, a part qu’il portait des vêtements plutôt étranges, pas de salopette grise, il avait un tissu sur la tête en forme d’ovale. Je déglutis complètement effrayée avant de répondre avec des difficultés.
- Je…. Vous faites partit du ministère ?
- Le ministère ? Euh… non pas vraiment, répondit en rigolant l’homme qui se tenait devant moi, je suis garde forestier de la ville la plus près. Qui es-tu ?
- Je m’appelle… Layla, Layla Azertone.
Le garde hocha la tête. Aucune cams ne se tenait autour de lui. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise.
- Vous… vous n’avez pas de cams ?
- Une cams ?
L’homme paraissait surpris et ignorant. Je lui contais mon histoire, l’endroit où j’habitais, ce qui ce passait dans ma ville. Il me regarda de plus en plus étrangement pendant que je continuais à raconter mon histoire. Il me prenait sans doute pour une folle. En tout cas il acquiesça avant de me répondre.
- Je vois… le monde que j’habite n’est pas du tout le même. Nous avons des lois, certes, mais nous sommes plus libres que vous ne l’êtes, un peu comme tu l’étais, si j’ai bien compris ton histoire, au départ. Ne t’inquiète plus. Tu seras en sécurité à présent, tu ne retourneras jamais dans ce village. Maintenant, je vais t’emmener dans un centre où ils vont vérifier si tu vas bien et nous nous te trouverons une famille qui prendra soin de toi.
Il me sourit. Je retrouvais de l’espoir. Je le suivis dans un étrange objet. Une sorte de capsule grise avec quatre ronds noirs qui le portaient. D’après ce qu’il me disait cela s’appelait une voiture.
- Je suis donc libre à présent ? Vous n’allez pas m’emmener dans le ministère ?
- Bien sure que non, calme toi et profite du paysage.
Je regardais par la fenêtre, la forêt défilait le long de la voiture. Puis, un trou de lumière apparut, et je sus que c’était la fin de la forêt. Je me sentais en sécurité avec ce garde. Je ne redoutais plus la mort, je l’accueillais même. Pendant le trajet, il m’expliqua son monde. Cela paraissait tellement merveilleux par apport à ce que je vivais. Une ville apparut. Les maisons étaient blanches aux toits rouges. C’était accueillant par rapport aux bâtiments uniformément gris d’Incognitos Cities. Le jour commençait à se lever et les rares personnes dans les rues avaient tous le sourire aux lèvres. Ils étaient habillés de diverses couleurs. Cela les rendait gaie. Nous sommes ensuite arrivés devant une grande étendu bleue. Je pris peur, mais l’homme arriva à me rassurer au mieux. Je montais ensuite, accompagnée de gentilles dames dans un objet qu’on appelait ici bateau, je n’avais jamais rien vu de telle. Cependant les personnes paraissaient si gentilles que je les suivis. Si cela était le paradis, je voulais bien y rester. Je me mis sur le devant du bateau complètement stupéfaite. J’étais à la fois apeurée et joyeuse. J’étais enfin libre. Ils hissèrent la misaine, levèrent l’ancre, et le bateau, libre, se mit à glisser lentement vers la jetée sur l’eau calme du port. J’étais là, sur le pont, les cheveux aux vents, prête à commencer enfin ma vie.
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MessageSujet: Re: Incognitos Cities ----> Layla   Incognitos Cities ----> Layla Icon_minitimeSam 7 Mar - 15:27

C'est tout simplament genial !!
Je me demande où tu as trouvé cette idée...
Tu nous diras si tu as gagné et je l'espere bien !!!!
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MessageSujet: Re: Incognitos Cities ----> Layla   Incognitos Cities ----> Layla Icon_minitimeSam 7 Mar - 15:56

J'ai pas encore lu, j'ai pas le temps là, je passe en speed sur le fofo' :S

Mais je sais de quel concours tu parles Razz Vu que j'habite dans le 95 aussi j'en ai entendu parler ! J'ai voulu le faire, j'ai commencer à écrire un texte même, mais j'ai finis par abandonner :/ ..
J'lirai ton texte dès que possible ! Je te souhaite bonne chance en tout cas, j'espère que tu vas gagner x)
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MessageSujet: Re: Incognitos Cities ----> Layla   Incognitos Cities ----> Layla Icon_minitimeSam 7 Mar - 16:05

Oui oui je vous préviendrais :p
Tu n'aurais pas dut abandonner Kyana :p
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MessageSujet: Re: Incognitos Cities ----> Layla   Incognitos Cities ----> Layla Icon_minitime

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